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 Un Drifter tout neuf, prenez en soin!

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Warenghem
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Warenghem


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Un Drifter tout neuf, prenez en soin! Empty
MessageSujet: Un Drifter tout neuf, prenez en soin!   Un Drifter tout neuf, prenez en soin! Icon_minitimeLun 17 Jan - 2:36

Jeudi 21 Août 2042, 09h00

Après avoir pris quelques nouvelles de Carlin toujours hospitalisé, Sam et Thaï laissent les équipes techniques examiner la scène de la fusillade du parking et les restes de la voiture de la Highway. Torino est depuis hier soir en cellule, mais son interrogatoire attendra qu’il soit en état de causer correctement sans bégayer.

Après une bonne remontée de bretelles et une âpre négociation avec le Sgt Jenkins, la jolie brune chargée du parc véhicules, ils récupèrent un autre V666 tout aussi flambant neuf que celui dont les restes rentrent dans le parking sur la remorque des CSI avec une journée de moins… "Un Drifter tout neuf, prenez en soin!"

Elles décident donc d’aller examiner la scène de crime du Pr Jones (le membre de Health Care Tech, filiale de la BBG, volontaire pour les examens médicaux de prisonniers).
Dans la ruelle à côté de la 51th street, rien de particulier. Les deux enquêtrices décident donc de faire le tour du quartier pour tenter de compléter le maigre dossier du Sgt Jared Herbert.

Homicide par arme à feu - pistolet d’alarme S&W Beat Up-011 : un projectile dans la nuque. Conclusion : racket ayant mal tourné : portefeuille vide à côté du corps.
Le rapport d’autopsie précise que la victime avait encore sa montre, son téléphone portable et son attaché case…
La découverte du corps a été faite juste avant la fin de service…

Les caméras publiques sont trop éloignées pour imaginer en tirer quelques choses.

Elles passent voir le gérant du drugstore où l’arme du crime a été achetée, le jour du meurtre à 19h50, 40 minutes avant l’heure estimée du décès.
Situé à 50m de la scène, le drugstore est ouvert. Dès qu’il les voit entrer, le gérant sort de derrière son comptoir couvert de babioles pour les accueillir, un léger agacement est perceptible.
- Bonjour, vous désirez ?
Thaï - Nous passons vous voir concernant le meurtre du 5 Juin…
- J’ai déjà dis tout ce que je savais ! Vous n’avez toujours pas trouvé le coupable ? Un blanc avec un accent bizarre, désolé, je n’ai que ça à dire ! Ce n’est pas la première agression du quartier, on n’en fait pas autant d’habitude ! Un peu plus de patrouille et moins de blabla, ça ferait du bien…
- Ah, je vois au dossier que votre vidéosurveillance de caisse était HS, pas d’autre caméra ?
- Non, toujours pas. Mais en attendant, je l’ai fait remplacer, s’il revient, je vous appelle…
- -Bon, on vous laisse, si on a d’autres questions, on sait où vous trouver. Bonne journée !
En sortant dans la rue, un examen rapide des lieux : une banque en face du drugstore, une à l’angle opposé à la scène de crime, tout le reste des immeubles à part le drugstore est occupé par des bureaux.
Après discussion avec les veilleurs-concierges des deux bâtiments un peu crasseux entourant la scène de crime, les bureaux sont en fait en location horaires, personne n’avait entendu quoique ce soit.
L’avantage d’un pistolet d’alarme : personne n’entend quoique ce soit.
Elles décident donc d’aller voir la banque située face à la ruelle. Rien de plus probant, le directeur d’agence est fraîchement promu, il n’était pas là ce jour là. Il demande aux deux Cops si les vidéo avaient été récupérées, surtout celle du distributeur extérieur. Après examen rapide, rien n’apparaît au dossier.
« Ah désolé pour vous, elle ne prend pas la ruelle… mais je demande à ma direction de vous faire parvenir les fichiers vidéo. »
Mais les deux Cops pensent de suite à la banque située face au drugstore et à son DAB. Demande rapide, les fichiers seront transférés au plus vite et cette fois ci, la vidéo donne directement sur l’entrée du magasin.
D’ici quelques heures, ils auront enfin un visage et avec un peu de chance, un nom.

Elles décident donc de retourner au Central vers 11h30.
La radio crachent quelques info diverses : bagarres de rue, bruits bizarre chez un voisin, van suspect près d’un bâtiment…
Les Cops décident de rentrer au Central afin d’établir rapidement un avis de recherche et éventuellement de commencer les interrogatoires. Elles prennent la route la plus directe, en passant par les artères centrales. Le flot de circulation est fluide et clairsemé une demi heure avant les embouteillages de midi.
Sur O Street, de grandes affiches sont placardées partout, le Golden State Museum, 500m plus loin sur la rue, présente une exposition spéciale sur l’histoire du cinéma californien depuis 1950.
La radio crache un message d’urgence : « À toutes les patrouilles: 207 au Golden State Museum sur O Street. Une femme enlevée par plusieurs hommes armés dans un van sombre ».
Un van sombre passe en trombe en arrachant un rétroviseur à la voiture qui précède de 20m le Drifter.
Sam retourne le 4x4 au frein à main, passe le terre plein central sans difficulté et se lance à la poursuite du van.
Après quelques dizaines de secondes, le Drifter, sirène hurlante, est pare-choc contre pare-choc avec le van. Juste après un carrefour, le conducteur du van pile et arrête son véhicule à cheval sur le trottoir, les quelques passants ne devant leur survie qu’à leurs réflexes de fuite.

Sam s’arrête sur la voie de gauche afin de limiter le passage de véhicules derrière et les deux Cops sortent chacun de son côté, l’arme au poing, tandis qu’une berline noire allume ses freins sur la voie de droite. En sortent deux hommes en costume anthracite l’arme au poing braquée vers le van.
Petit soulagement, à quatre, c’est toujours mieux qu’à deux.

Deux hommes cassent les vitres de la porte arrière du van tandis que deux autres sortent de l’habitacle avant. La fusillade commence très vite avant toute somation de la part des Cops.
Sam et un des deux situés à l’arrière se tirent mutuellement dessus. Sam, quand sa jambe gauche flanche touchée 10cm au dessus du genou, chute lourdement sur siège en heurtant le montant de la portière avec la tête, tandis que l’autre disparaît en criant de leur vue quand la balle de sa cible heurte son fémur gauche après avoir traversé la tôle et déchiré son ischio jambier.
Au même moment, son acolyte dirige son Sig vers le chauffeur de la berline, tandis que le chauffeur du van tente d’atteindre Thaï, mais tous deux manquent leurs tirs, perturbés par le cri de douleur de leur comparse. Le rétroviseur gauche explose littéralement à l’impact à 50cm de la Cops.
De leur côté, Thaï et le deuxième gorille anthracite restent concentrés et font feu simultanément, atteignant respectivement le chauffeur du van à l’abdomen et l’homme de droite en plein torse. Les deux kidnappeurs s’écroulent mollement, inanimés.
Motivé par le succès de son collègue et imitant Sam, le chauffeur de la berline tire à travers la porte arrière du van et perfore le mollet droit du tireur toujours debout. Son voisin réapparaît alors derrière la fenêtre brisée de van et tire au jugé vers Sam, sa balle étoile le pare brise du Drifter et vient se loger dans le siège avant droit.
Sam, toujours au sol riposte efficacement et touche la seule jambe intacte de son assaillant qui disparaît à nouveau derrière la porte arrière du van. Elle se relève alors en prenant appui sur son siège.
La porte arrière droite de la fourgonnette s’ouvre brusquement et va s’écraser sur la carrosserie latérale. Surpris, le chauffeur de la berline n’arrive pas à esquiver le tir du dernier kidnappeur et est projeté sur le bitume par l’impact d’une balle dans son sternum.
Sam et le deuxième gorille tirent par réflexe : une balle à nouveau dans le jambe droite et une autre dans le poumon gauche, juste son le cœur.

Thaï avance rapidement vers le chauffeur l’arme à la main, éloigne le Sig Sauer de la main du corps inanimé d’un coup de pied et le menotte rapidement juste avant que l’homme n’ouvre les yeux. Elle contourne l’avant du fourgon et s’occupe alors du copilote qui lui n’est pas encore revenu à lui.
Quand elle revient à l’arrière du van, le deuxième gorille s’occupe de son collègue et Sam tient en joue les deux corps. Après un rapide examen, il semble qu’ils ne se réveilleront pas de suite, leurs blessures sont plus graves que celles de leurs deux complices.
Thaï rentrent alors dans le van et libère la femme qu’elle trouve ligotée et bâillonnée sous une couverture. Coup de chance, les balles « perdues » ne l’ont pas atteinte : passées 30cm plus haut.
Elle la sort du van et l’installe à l’arrière du Drifter et demandant à ce qu’on lui amène un café et une couverture.
Les ambulances, demandées par Sam, arrivent rapidement et embarquent les blessés, plus ou moins sous bonne garde…, suivies par quelques voitures de patrouilles et celle du Lieutenant.
Pendant ce temps, petite explication : les gorilles se sont retrouvés mis en joue en sortant du musée, surpris d’être agressés dans un lieu si public ! Leur cliente est Mme Sandra Hermann-Barson. Le nom parle vaguement à Thaï, elle note et verra plus tard.

En s’approchant du 4x4 récupéré 3h avant, la Cops soupire en pensant « Encore une grosse négociation avec Pam Jenkins, qui va s’y coller cette fois-ci dans l’équipe ? Enfin, ce coup-ci, il roule…».
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